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Dans ce programme faisant la part belle à la musique française, le concerto pour violoncelle Tout un monde lointain d’Henri Dutilleux interprété par Victor Julien-Laferrière dialogue avec une pièce évoquant l’espace, Laniakea de la compositrice Camille Pépin mais aussi le chef-d’œuvre orchestral de César Franck : la Symphonie en ré mineur. Pour Joshua Weilerstein, diriger le Concerto pour violoncelle du compositeur français est l’occasion de révéler l’amour qu’il porte à la musique de Dutilleux. Composé en 1970 pour le grand Mstislav Rostropovitch, Tout un monde lointain est une évocation pleine de sensualité de poèmes de Charles Baudelaire, point de départ à l’inspiration du compositeur. Autour de cet incontournable de la musique contemporaine interprété par Victor Julien-Laferrière en soliste gravitent deux autres étoiles. Laniakea (2019) de Camille Pépin, une « pièce orchestrale, épique et organique » selon Joshua Weilerstein qui évoque l’immensité de Laniakea, superamas de galaxies cinq fois plus grand que la voie lactée qu’elle contient ! Vertigineuse elle aussi mais plus terre-à-terre, la Symphonie en ré mineur (1888) de César Franck est l’unique symphonie du compositeur et organiste. Mais quelle incursion !